“ […] - Frasquita observait la dentellière – ainsi nommait-elle l’araignée qui avait élu domicile dans sa chambre – en se demandant si elle-même serait un jour capable de sécréter sa propre toile.
« La beauté vient de ces espaces vides délimités par les fils ! Révéler, cacher. Désépaissir le monde. Ce qui est somptueux, c’est de voir au travers ! La transparence… La finesse de la toile voile et encadre un morceau d’univers et se faisant le révèle… » Elle sentit tout ce qu’il lui faudrait encore comprendre et maîtriser : la couleur, le blanc, les tissus, la transparence… ». Carole Martinez, Le cœur
cousu, 2007.
“ […] - Frasquita observait la dentellière – ainsi nommait-elle l’araignée qui avait élu domicile dans sa chambre – en se demandant si elle-même serait un jour capable de sécréter sa propre toile.
« La beauté vient de ces espaces vides délimités par les fils ! Révéler, cacher. Désépaissir le monde. Ce qui est somptueux, c’est de voir au travers ! La transparence… La finesse de la toile voile et encadre un morceau d’univers et se faisant le révèle… » Elle sentit tout ce qu’il lui faudrait encore comprendre et maîtriser : la couleur, le blanc, les tissus, la transparence… ». Carole Martinez, Le cœur
cousu, 2007.